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mardi, avril 29, 2025
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Fauvillers : un salon du mariage innovant !

Le petit village de Wisembach, près de Fauvillers, accueillera un salon du mariage qui fait chaud au cœur ce dimanche 21 octobre. Celui-ci mettra en valeur les personnes à mobilité réduite : une première dans la région.

Mettre en valeur la différence : tel pourrait être le leitmotiv de la première édition du Salon du Mariage de Wisembach. Organisé par Rita Gabriel, chef et traiteur gastronomique de la salle de banquets « Un Brin de Saveur », le salon entend se distinguer des autres événements du genre en valorisant les personnes à mobilité réduite, souvent laissées pour compte dans le microcosme de la mode. Ainsi, ce dimanche, la beauté n’aura pas d’handicap : les robes de mariées et les costumes seront présentés lors du défilé de mode par des mannequins valides et non valides, et par des hommes et femmes aux morphologies différentes. Un projet rendu possible par la présence de partenaires spécialisés dans l’habillement des personnes à mobilité réduite, comme la Maison Schmit Beaufays Men et la styliste Sandrine Dauchot, qui fera honneur de sa présence.

À travers ce défilé, Rita Gabriel souhaite populariser le travail de fond de l’association Back to Sport. « Il s’agit d’une asbl créée par des kinésithérapeutes et ergothérapeutes qui œuvrent bénévolement à l’intégration de personnes présentant un handicap physique, dans des défis sportifs » confiait récemment Rita.

« L’idée est de montrer que cette diversité et cette différence nous enrichit. Ce n’est pas parce qu’une personne est en fauteuil roulant ou unijambiste qu’elle ne peut pas être élégante ». À terme, Rita aimerait changer le regard des gens sur les standards de beauté.

Un salon intimiste 

En dehors du défilé, les visiteurs pourront arpenter les allées du salon et aller à la rencontre de nombreux spécialistes en prestation de mariage. Photographe, coiffeur, habillement, expert en décoration, professionnels de la restauration : toutes les composantes nécessaires à l’organisation d’un mariage seront représentées et prêtes à fournir des conseils avisés aux futurs mariés. Sont d’ores et déjà annoncé pour cette première édition : l’institut de beauté Carpe Diem, Schmit pour Elle, Chaussure Jack Line, Il était une fleur, Boulangerie Stouvenaker, La cave des Sommeliers, Coiffure Hair Box, le photographe Eric Devillers et Sergio Animation.

Le salon n’a pas la prétention de se positionner comme le plus grand rassemblement de professionnels du mariage. Au contraire, il s’agit avant tout d’une réunion à taille humaine, où l’ensemble des partenaires ont été sélectionné pour la qualité de leurs services et leur confiance. « Il s’agit de notre première édition et notre but est surtout de faire de cette journée, un beau moment de partage et de tolérance » conclut Rita.

Toute les informations pratiques sont disponibles sur le site officiel du salon : EN CLIQUANT ICI 

Steinfort : le Top Chef Thomas Murer ouvre son propre restaurant !

Photo : PIERRE OLIVIER/M6

L’ancien candidat de Top Chef Thomas Murer va ouvrir son premier établissement le 31 octobre prochain. Il y proposera une cuisine raffinée et bistronomique, mais accessible.

Le plus célèbre chef cuisinier du Grand-Duché va prochainement se lancer dans une nouvelle aventure : ouvrir son premier restaurant. Après deux ans de bons et loyaux services aux manettes du « Aal Schoul », Thomas Murer a en effet ressenti le besoin de voler de ses propres ailes et de prendre les commandes de son propre établissement en compagnie de son épouse Emeline. « L’école est finie ! » a expliqué Thomas Murer dans une vidéo Facebook.

Situé au cœur de Steinfort, l’établissement proposera une cuisine où se mélangeront plats classiques et gastronomiques, mais à des tarifs accessibles pour toutes les bourses. Les clients pourront déguster une entrée entre 10 et 20 euros, et des plats de résistance à partir de 22 euros. « Nous travaillerons avec des produits du terroir. Mon but est de pouvoir faire plaisir aux gens avec un rapport qualité-prix raisonnable » confiait récemment Thomas Murer.

Photo : Thomas MURER Top Chef

Le restaurant se nommera An Der Villa et prendra ses quartiers dans la sublime villa Collart, mise à disposition par la commune. « C’est un travail de titan et je suis fier de pouvoir travailler dans cet endroit magnifique » explique le chef, qui espère pouvoir ouvrir les portes dès le 31 octobre. « Tout ne dépend pas de moi. Les différents corps de métier travaillent d’arrache-pied, mais il est vrai que sur une bâtisse aussi grande, les travaux sont très importants et les retards s’accumulent. Il est sûr et certain que dès le début novembre le restaurant sera bel et bien ouvert ». Il faut dire que la conservation du patrimoine architectural et historique est prise très au sérieux par la commune de Steinfort. Dans cette optique, plusieurs bâtiments anciens sont en train de faire peau neuve. La magnifique Villa Collart en fait partie, mais la « transformation prend du temps ».

Si les préparatifs se déroulent comme prévu, le bal des réservations devrait débuter dès le 23 octobre. Le chef donne déjà rendez-vous sur sa page Facebook officielle pour toutes les informations pratiques : EN CLIQUANT ICI 

Un parcours de rêve

Thomas Murer est une figure bien connue dans la région. En 2016, l’homme originaire d’Alsace avait marqué la septième saison de l’émission culinaire Top Chef en atteignant la demi-finale grâce à des plats signatures originaux mettant en valeur les produits. Depuis, il officiait derrière les fourneaux du restaurant « Aal Schoul » à Hobscheid, où sa personnalité médiatique et surtout ses talents de chef ont permis à l’établissement d’acquérir une belle notoriété. L’an dernier, Thomas Murer était repris dans la catégorie « Découverte Gault et Millaut », avant de faire une entrée fracassante au guide Michelin il y a quelques mois.

Tintigny : Goldaze remixe un titre de Henri PFR !

Goldaze frappe un nouveau coup ! Après deux tubes qui bourdonnent encore dans toutes les têtes, l’artiste natif de Rossignol sort aujourd’hui son tout premier remix officiel. Il s’est confié à l’équipe de Shootlux sur ce nouveau projet ! 

Dans le milieu de la musique électronique en Belgique, Brice Plainchamps, alias Goldaze, n’est plus à présenter. Propulsé sous la lumière des projecteurs il y a deux ans avec le tube « Lights Of My Hometown », en featuring avec Florent Brack (gagnant de The Voice 2015 et originaire d’Herbeumont), le Luxembourgeois a encore tourné sur les ondes cet été avec le morceau « Color ».

Aujourd’hui, la carrière artistique de l’actuel régisseur du Centre Culturel de Rossignol prend une nouvelle tournure, et peut être même un tremplin. Goldaze a sorti son tout premier remix officiel après avoir été repéré par Henri PFR pour remixer son dernier titre Catching Butterflies. Son morceau sera diffusé sur toutes les plateformes via Universal à partir de ce 17 Octobre 2018 !

« Sortir un remix officiel pour artiste connu et reconnu, c’est clairement une super opportunité. Je vais bénéficier d’une couverture médiatique assez importante grâce à Henri PFR. Cela va me permettre de me faire découvrir par un nouveau public. C’est aussi une belle reconnaissance car cela valide mon travail » nous explique Brice, plein d’enthousiasme.

La mise en relation entre les deux artistes belges s’est réalisée de manière très simple, à travers les réseaux sociaux. Après avoir été contacté directement par Henri sur Instagram pour collaborer sur son dernier morceau, Goldaze est parti le rencontrer au MPA Festival à Dampicourt où les deux jeunes hommes partageaient justement l’affiche. S’en est suivi une discussion technique et passionnée, qui débouche donc aujourd’hui sur un remix officiel. Les deux acolytes n’exclus d’ailleurs pas de collaborer à nouveau ensemble dans le futur. « Je vais d’office lui proposer mes nouveaux tracks » nous dit Brice.

Du plaisir et un nouveau single

Si cette prestigieuse collaboration est assurément un coup de pouce bienvenu, l’artiste électro ne fait pas de plan sur la comète pour autant. Brice préfère progresser étape par étape et se laisser porter où son talent peut l’amener : « D’un point de vue de ma carrière, je n’ai pas vraiment de plan précis. Je prends les choses comme elles viennent. Mon objectif, c’est avant tout de m’amuser et de prendre du plaisir quand je suis en studio ou sur scène ».

À moyen et long terme, l’objectif du musicien est de faire grandir son projet. « Le but, c’est de faire grandir mon projet et de proposer de la qualité. Faire des bons morceaux et des bons mix. Si la qualité est là, le reste suivra » nous explique-t-il. « C’est derniers mois, je me suis fait des contacts solides dans le milieu. Mon réseau s’étoffe et ce sera très utile pour mon prochain single ». 

En attendant, Goldaze travaille activement sur son nouveau projet musical. En exclusivité pour Shootlux, l’artiste nous confie « que ce sera une voix féminine qui chantera sur le morceau ». Programmé pour une sortie fin d’année, le titre sera assez frais avec des touches de funk et de disco très énergique. La nouvelle création musicale reflétera une nouvelle fois le style caractéristique de Brice : « Trouver son style, c’est ce qui a de plus difficile dans la musique. Mais j’ai le sentiment d’avoir trouvé mon créneau ces derniers mois. J’oscille entre deep-house et future-house avec une couleur disco-funk. Mon remix de Catching Butterflies se situe dans ce style là aussi »

Goldaze nous rassure d’ailleurs sur un point : ces prochains tubes respireront la joie de vivre ! « J’essaye maintenant de faire des morceaux plus optimistes car j’avais tendance à composer dans un registre un peu mélancolique ! ». 

La province de Luxembourg, parent pauvre de la culture ?

Enfin, si le succès de Goldaze mérite d’être mise en avant de la sorte, c’est aussi parce qu’il se produit dans un contexte très particulier. La province de Luxembourg dispose en effet de très peu de moyens pour venir en aide aux jeunes talents à la recherche d’un soutien leur permettant de passer un cap dans le développement de leurs projets.

D’ailleurs pour Brice Plainchamps, notre région est loin d’être un eldorado professionnel. « Honnêtement, ce n’est pas facile. Il y a peu de structure au niveau des musiques électroniques. La province de Luxembourg est le parent pauvre de la culture de manière générale. Toutes les rencontres importantes qui m’ont permis d’avancer ce n’est pas ici que je les ai faites. Heureusement qu’internet existe, ça permet tout de même de se mettre en relation avec pas mal de monde.»

Une situation d’autant plus incompréhensible que la province verte regorge d’hommes et de femmes qui portent des projets innovants. « C’est dommage qu’il n’y a pas plus de structure alors qu’on a des artistes de qualité. Je pense notamment à DJ ART » conclut Brice.

Arlon : l’école L-Danse fête ses 1 an !

Spectacle L-Danse 2018 - #shootlux

L’école de danse L-danse vient de souffler son premier anniversaire. À l’aube de la prochaine saison, nous sommes allés à la rencontre des deux passionnées qui ont créé un espace unique au cœur d’Arlon.

Il y a tout juste un an, Marjorie Gentilini et Olivia Marchand ouvraient l’école L-Danse au cœur de l’Espace Callemeyn à Arlon. Les deux complices y enseignent la danse classique, moderne, contemporaine, le jazz, le hip hop, la psychomotricité, pilates, le stretching et la gymnastique douce. Au sein de deux salles modernes et entièrement remises à neuf, les élèves découvrent une discipline qui mêle art et sport, qui aide à travailler la musculature, développe le sens du rythme et qui fait la part belle à la souplesse, l’équilibre, à la grâce et la maîtrise du corps.

Ceci dit, l’ouverture de l’établissement ne s’est pas réalisée en un claquement de doigt. Elle a nécessité beaucoup d’investissement humain et un travail rigoureux pour se donner toutes les cartes en main. « Nous avons du tout apprendre en même temps : la gestion d’une école de danse demande beaucoup de cordes à son arc, comme la comptabilité, le secrétariat et le nettoyage. Tout ça en plus de la préparation des cours » expliquent les deux jeunes femmes.

Aujourd’hui, Marjorie et Olivia tirent un bilan positif de cette première saison. « Au départ, nous avions un peu peur de nous lancer. Car c’était un grand saut dans le vide. Mais on a été entourées des bonnes personnes pour ouvrir l’école et elles nous ont aidées à mener à bien notre projet. Aujourd’hui, nous en tirons un bilan positif, d’autant plus que cette première année a été très chargée en événements avec la préparation du spectacle. Nous nous entendons toujours aussi bien et ne regrettons pas notre choix de travailler ensemble » nous confient-elles.

Les deux passionnées désirent développer encore davantage leur studio et mettre sur pied de nouveaux projets. Il faut dire que les deux jeunes femmes ont une expérience longue comme un bras : diplômées d’État à Paris (l’une en jazz, l’autre en danse contemporaine), elles font leur apprentissage à l’école de danse Nicole Aimont à Arlon, où elles ont enseigné pendant plus de dix ans et joué un rôle primordial au sein de cette école renommée pour la qualité de ses cours; mais aussi à l’ADEPS, où elles enseignent la danse, toujours en binôme lors de stages complets en un temps record.

Des invités internationaux

L’une des particularités de L-Danse, c’est la possibilité de participer à des stages en présence de professeurs invités, très souvent réputés dans le milieu de la danse. « Nous essayons de faire connaitre d’autres styles à nos élèves, qu’ils aient la chance de travailler avec des professeurs de renommée » nous explique-t-on.

Une approche qui est amenée à se poursuive dans le futur, tant le succès est au rendez-vous. Après avoir reçu Maëlle Dufour, la danseuse de Loïc Nottet, et Pascal Loussouarn, L-Danse continuera d’accueillir de nouvelles têtes. Fin avril 2019, l’école recevra la visite de Béatrice Buffin, professeur de danse contemporaine, diplômée d’état, danseuse et chorégraphe.

Les bienfaits de la danse

Avant de quitter Olivia et Marjorie, nous leur avons demandé comment elles décriraient leur passion et comment elles initieraient une personne à la danse. « Pour initier quelqu’un à la danse nous parlerions : d’évasion, et d’expression des émotions au travers du mouvement, de l’ambiance bonne enfant qui règne dans l’école et une réelle cohésion entre les élèves sans compétition comme ça peut être le cas dans ce milieu.

« Les bienfaits sont nombreux : confiance en soi, gestion des émotions ainsi que les bienfaits corporels, se sentir bien dans son corps » ont-elles conclut avec enthousiasme.

Sur leur page Facebook, un fan disait très justement : « L-Danse, mais surtout L-Rayonne, L-Brille, L-Imagine ». On ne peut que lui donner raison !

Pour les plus curieux, les informations pratiques relatives à l’école L-Danse à Arlon peuvent être consultées soit via la site officiel : EN CLIQUANT ICI ou via la page Facebook : EN CLIQUANT ICI 

Rulles : qui est prêt à s’enfiler des fricadelles ?

La friterie Chez D’Joh à Rulles organise le concours du plus gros mangeur de fricadelles ! Alors, qui est prêt à s’enfiler des dizaines de fricadelles et devenir le roi ?

C’est un concours un peu particulier qui se déroulera le 31 octobre prochain à 18h à la friterie Chez D’Joh à Rulles : le concours du plus gros mangeur de fricadelles ! Les amateurs de “bonne bouffe” se donneront rendez-vous à la baraque à frite pour se défier et tenter d’engloutir un maximum de fricadelles, l’emblématique saucisse dont tout le monde sait ce qu’il y a dedans, mais personne ne le dit !

À la clef, 100€ cash pour le vainqueur … et une nuit bien digestive. Une compétition qui pourrait bien déterminer quel est le meilleur estomac de la province de Luxembourg !

Le record de Belgique : 25 !

Le record de Belgique du plus gros mangeur de fricadelles est détenu par Eric Francis, un habitant de Saint-Trond âgé de 50 ans. Lors de la finale à Genk, le champion a englouti 25 fricadelles en un temps record. À l’époque, l’intéressé avait confié le secret de sa réussite à la presse : « Ne pas hésiter de temps à temps à lâcher un bon rot ! ».

Inscription à l’avance sur la page Facebook de l’événement : EN CLIQUANT ICI ou par téléphone au 0493/73/36/90.

Arlon : le nouveau collège communal est connu !

Certains candidats ont eu l’occasion de fêter leur victoire et d’autres sont repartis avec le moral dans les chaussettes… ! Personne n’avait prévu une claque aussi importante pour les socialistes.. et la progression historique Écolo. Mais concrètement qui s’occupera de quoi pour l’avenir de la ville d’Arlon ? Réponse ! 


Les dés sont jetés, les accords sont faits c’est le MR-MC qui s’allie à la liste Arlon 2030 & Vincent Magnus qui conserve sa place de bourgmestre pour la prochaine législature.

“C’est comme dans toutes les compétitions, y’a toujours des gagnants et des perdants, c’était une incroyable expérience riche en rencontre” explique un candidat à proximité d’un QG dans le centre-ville d’Arlon dimanche soir…

Découvrez les ci-dessous les compétences de chacun !
Pour la liste Arlon 2030 :

Vincent Magnus ,  reste bourgmestre. Il s’occupera également de la Culture, l’Académie de musique, les Relations internationales, les Affaires économiques et commerciales, le Budget, il reprend l’Information et la Communication de la ville.

Anne-Catherine Goffinet  s’occupera des Cimetières, le Patrimoine, les Petites Infrastructures sportives, l’Energie, l’Etat civil, et les Finances (présentation du compte).

Kamal Mitri s’occupera des  Travaux et  l’Environnement, la Mobilité, la Santé publique, la Solidarité internationale, le Commerce équitable.

Marie-Thérèse Trum s’occupera du Tourisme avec les animations festives et commerciales, le Culte, les Sports, et les Jumelages.

Pour la liste MR-MC :

Carine Lecomte, devient première échevine, elle s’occupera notamment de l’Enseignement.

Ludovic Turbang s’occupera de l’urbanisme, le personnel communal, l’informatique. Il cèdera son mandat après 4 ans à Olivier Waltzing.

Alain Deworme devient président du Cpas

Tintigny : carton plein pour la Soirée Mexicaine ! (+photos/Vidéo)

Soirée Mexicaine 2018 - #tintigny #shootlux

L’incontournable Soirée Mexicaine a une nouvelle fois rencontré un franc succès. Plus de 4000 personnes ont répondu présent ce 12 Octobre pour la 25e édition.

Soirée Mexicaine 2018 – #tintigny #shootlux

Le Mexique avait pris ses quartiers ce 12 Octobre dans le centre-ville de Tintigny. Et force est de constater que le pays de la Tequila continue d’attirer une foule toujours plus grande dans le village luxembourgeois. Le Club des Jeunes et l’asbl Tintigny Events organisaient ce vendredi la traditionnelle Soirée Mexiciaine, manifestation festive incontournable dans la province de Luxembourg. Pour son vingt-cinquième anniversaire, la soirée a réuni plus de 4000 fêtards.

Organisée en collaboration avec BreakOut et Shootlux, la fête n’avait rien à envier aux meilleures boites de nuit. Les participants ont pu se déchaîner sur les rythmes endiablés proposé par cinq DJ’s régionaux, sélectionnés le mois dernier à la suite d’un concours visant à promouvoir les jeunes artistes de nos régions. Une initiative qui est amenée à se poursuivre lors des prochaines années.

Sur place, les noctambules ont souligné l’excellente ambiance qui régnait sous le chapiteau et l’organisation tirée au cordeau des organisateurs. D’autant plus que cette Soirée Mexicaine avait une saveur particulière puisqu’elle fêtait ses 25 ans. « Dans la région, il s’agit ni plus ni moins d’une des meilleures soirées. On attend déjà avec impatience la prochaine édition ! » nous confiait ainsi un participant. Pour un autre fêtard, le cru 2018 était même un cran plus haut que d’habitude : « Comme toujours, l’organisation était aux petits oignons. Mais ils ont mis la barre encore plus haute cette année, surtout avec les surprises pour fêter ce quart de siècle ».

Les promoteurs confirment d’ores et déjà que tout sera mise en œuvre pour que l’édition 2019 soit au moins au même niveau que cette année.

Une mauvaise année pour les champignons dans la Province ?

Avec un été chaud et sec, l’année 2018, n’est pas celle de 2017. Alors que l’on croulait sous les champignons l’année passée, cet automne devrait s’avérer pauvre en récolte mais avec quelques avantages néanmoins. Explications…

Cèpes de Bordeaux (bouchons) et girolles de l’Ardenne belge

La saison de la cueillette des champignons a commencé sur le tard cette année. Nous sommes allés à la rencontre de Paul Pirot, grand expert chez les mycologues dans la province de Luxembourg. Selon lui, cette année n’est pas propice aux champignons et il faudra redoubler de vigilance pour trouver les cèpes et girolles. « Malheureusement, en raison de la sécheresse et du manque de pluie dans notre région, le mois de septembre fut trop sec et les forêts sont pauvres en champignons. Certains sont quand même apparus en nombre et la saison n’est peut-être pas terminée. » Cependant, ce dernier explique que vu le faible taux d’humidité, certains champignons se voient moins attaqués par la vermine.

Dès lors, pour le roi des forêts comme le Cèpe de Bordeaux, presque aucun ver n’est à déclarer dans le champignon lorsque celui-ci est découvert par un cueilleur, alors que les années précédentes il fallait jeter beaucoup pour se débarrasser de la vermine. Et si vous ne trouvez aucun champignon des bois cette année, vous pouvez vous rabattre sur ceux des près, appelés les rosés des prés. Ils abondent en ce moment grâce à la rosée du matin et aux températures clémentes le jour. Similaire aux champignons de Paris, vous les trouverez aisément dans des champs avec des vaches.

Couper ou arracher le Champignon ?

Deux écoles s’affrontent. Certains prétendent qu’en coupant on laisse des bactéries sur le mycélium (les « racines » du champignon), alors que d’autres préconisent cette méthode. Paul Pirot nous a donné sa réponse et celle-ci devrait vous aider. « Tout dépend du champignon récolté. Si on les cueille pour les manger, il faut cueillir en coupant le bas du pied, les déposer déjà propres dans un récipient rigide. Ensuite, arrivé chez soi, il suffit de les brosser un peu et ne pas les plonger dans l’eau. »


Mais comment réussir votre cueillette, malgré la pluie ?

« Il n’y a pas forcément de moment idéal pour la cueillette. Tout d’abord, il faut distinguer les champignons des prés et ceux des bois. Dans les prés, les gens y vont tôt le matin, afin d’être les premiers. Moi, je préfère y aller l’après-midi quand il y a moins de monde. Les champignons apparaissent en automne, car ils sont dépendants des arbres ou de ce qu’on appelle le phénomène de stress lié à une différence de température brutale.

Dans les bois, c’est moins marqué car la différence de température entre le jour et la nuit est moindre » ajoute Monsieur Pirot. En général après un épisode de pluie intense et quelques jours de beau temps suivant les averses, le moment idéal à la cueillette se profilera.

Mais, attention !  Quelques champignons sont toxiques. « Il n’y a absolument pas de façon de le voir à la cueillette pour les personnes non-averties. La seule manière, c’est de connaître le nom du champignon. Il faut seulement manger ceux dont on est sûr de connaître. »

Les champignons comestibles sont peu nombreux… les toxiques aussi. Comestibles veut dire mangeables. Cependant « quelques champignons sont mangeables qu’en cas de guerre ou de famine, ils sont aigres », réagit Paul Pirot. Et Comme dit le proverbe «  Tout les champignons sont mangeables, certaines seulement une fois… »

Enfin, Monsieur Pirot tenait à insister sur une chose, qui lui tient à cœur, en tant que mycologue. « Les champignons ne sont pas que des proies, nous ne sommes pas que des prédateurs. Non, les champignons ont des rôles très importants dans la nature et apprendre à mieux les connaître, c’est aussi montrer tout le bien qu’ils font à la nature. »

En effet, le champignon, c’est un condiment plus qu’un aliment.

« Il faut essayer de voir les champignons comme vous regardez les oiseaux. Il faut s’y intéresser pour autre chose que pour leur goût, c’est utile à la nature. »

Info pratique : Dimanche 14 octobre. Promenade guidée par Paul Pirot.
Départ du Syndicat d’Initiative d’Habay-la-Neuve à 10h.

Etalle : un DJ cybercriminel aurait abusé de plusieurs victimes

Un épisode digne de la série policière « Criminal Minds », avait lieu au tribunal correctionnel d’Arlon ce mercredi…

Un jeune homme, bien connu dans le milieu de la nuit pour des prestations DJ en province du Luxembourg était suspecté de plusieurs cas de cyberprédation, d’attentats à la pudeur et de prévention de crime de viols sur mineurs dans les environs d’Etalle.

Le présumé auteur des faits, âgé de 26 ans, comparaissait à la suite de plusieurs plaintes et auditions en cours depuis 2013 (20 ans à l’époque des faits). Le modus operandi toujours le même était le suivant.  Le prévenu, alors à peine majeur à l’époque, rentrait en contact avec ses victimes à l’aide de Messenger, se faisant passer pour un jeune avec les mêmes centres d’intérêts. De fil en aiguille, des liens se créaient, des cadeaux s’échangeaient, et le prévenu demandait de lui envoyer des Nudes « photos déshabillées » de ses victimes entre 12 et 16 ans.

En côtoyant ses victimes, l’homme par exemple en jouant une partie de Playstation a sauté sur l’une de ses victimes. Après s’être débattue, la victime aurait pris la fuite et coupé tout contact avec cette dernière. Dans certains cas où les proies du prévenu tentaient par elles-mêmes de couper les ponts, celui-ci entamait une période de harcèlement par messages insistants. D’autres faits de fellations et attouchements auraient également eu lieu.

Au moment de son interpellation, le prévenu aurait fondu en larmes devant les policiers, demandant de l’aide. Les démarches pour entamer une guidance spécialisée avec un sexologue auraient été mises en place pour endiguer des risques de récidives. Du contenu pédopornographique auraient également été retrouvé sur son ordinateur. Selon le rapport d’expertise psychiatrique, le prévenu, d’abord victime de ce genre d’abus à répétition à l’âge de neuf ans incriminant un voisin, aurait tout bonnement eu son enfance, son adolescence et son entrée dans l’âge adulte brisée.

Ce dernier aurait inévitablement été amené à une immaturité sexuelle, croire en une histoire d’amour et à minimiser la prise de conscience de ses actes lors des faits et essayant de se dédouaner par la suite.

La procureure a requis une peine de 5 ans d’emprisonnement ainsi qu’une guidance spécialisée. Le jugement devrait être rendu le 14 novembre.

Drink ‘N Draw in Arlon – Du dessin et de la boisson à Arlon !

Ce vendredi 5 octobre se tenait la première édition du « Drink ‘N Draw in Arlon » au Colysée, un café situé dans la rue des faubourgs d’Arlon. Littéralement, comprenez, « dessin et boisson ».

Le concept est simple, nous explique Pierre, un professionnel du dessin qui organisait cette édition. « Autour d’un thème qui s’avérait être pour cette édition « le kick-boxing », les gens viennent boire un verre, poser, dessiner (parfois même les trois) ou tout simplement regarder. C’est ouvert à tous. Artistes confirmés ou débutants ou tout simplement quelqu’un qui veut s’essayer à la pose ou au dessin. »

Dès lors, cette activité où se mêlent art et convivialité est accessible à toute personne susceptible de vouloir partager un moment de camaraderie. « C’est gratuit, la seule contribution est de consommer au moins une boisson sur place. Ce qui est logique car on est dans un café », ironise Pierre.  L’initiative a été lancé par lui-même et Manon, tous deux passionnés de dessins.

« Ce genre d’événements existe dans plein d’endroits: à Bruxelles, Kiev, et d’autres grandes villes. Personnellement, J’ai découvert ça à Bruxelles grâce à Olsen et j’ai vraiment beaucoup apprécié. Du coup, Olsen m’a suggéré d’en lancer un à Arlon. L’idée a mûri et, avec Manon, nous avons mis cela en place. Pour nous, c’est un succès car les gens se sont prêtés au jeu et ont apprécié ».

C’est la raison pour laquelle, Pierre et Manon ont décidé de réitérer l’opération chaque premier vendredi de chaque mois avec un thème différent pour chaque occasion. Une page Facebook sera également créée afin d’accéder à toutes les informations nécessaires pour les prochaines fois .

Le prochain thème est quant à lui déjà tout trouvé, restons dans le milieu du Drink avec « Qui fait bob ?».

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